« Avec mes problèmes de hanche,
je ne peux plus écarter les cuisses
avec mon chéri »

témoignage d’une femme de 46 ans.

En tant que coach fitness et life coach, je ne vais parler que des types d’exercices qui permettent de continuer une sexualité la plus épanouissante possible pour toute femme qui va atteindre la quarantaine ou qui est en plein dedans.

SOMMAIRE

1. Pourquoi la décennie de la quarantaine est décisive pour les années à venir, notamment sur vos capacités physiques en général ?

2. La chance d’être une femme : la prise en compte de l’émotionnel pour sortir des traumatismes qu’a subis votre corps


3. Quel profil d’activités physiques pour quel profil d’activités sexuelles

1. Pourquoi la décennie de la quarantaine est décisive pour les années à venir, notamment sur vos capacités physiques en général ?

Après 40 ans : attention à ne pas brûler la mèche… ça peut être la chute vertigineuse vers la dégénérescence à force de négligences, d’ignorance organisée subie et de croire que vous êtes épargnée de tout avec zéro action de prévention sérieuse sur votre santé physique et mentale.

Spécialiste de la prévention anti-âge, âgée moi-même de 47 ans, j’ai assisté au courant de mon existence et autour de moi de la destruction progressive de notre santé de femme par :
⚠️ la répétition continue d’abus en tout genre depuis la petite enfance par des personnes toxiques
⚠️l’obsession de trouver un.e partenaire, d’avoir des enfants
⚠️l’insécurité financière comme professionnelle jusqu’à l’obsession de gagner de l’argent H24 pour les cheffes d’entreprise
⚠️notre mode de vie assis ou avec du sport totalement inadéquat par rapport à nos besoins de maintenance anti-âge
⚠️ notre alimentation très déséquilibrée avec de la malbouffe ou par des régimes soi-disant « healthy » très inadaptés jusqu’à l’alcoolisme « social » et la défonce qui va avec…

Combien de femmes se morfondent et désespèrent de ne pas trouver le « mister right » ou « la femme de leur vie »… Le couple… Une illusion qui gâche la vie de toutes les femmes. Nécessité d’image sociale « normale », solitude insupportable, besoin financier, pression communautaire à avoir des enfants…. Le ou la partenaire stable idéal.e n’existera jamais.

Seulement voilà… Comme ça fait depuis +de 20 ans que vous persistez dans ces habitudes… votre corps comme votre moral ne peuvent plus suivre plus longtemps. La quarantaine est la décennie du dernier appel avant suppression définitive de toute chance de remettre votre corps en état de santé.

Voici quelques axes de prévention pour éviter les situations de handicap beaucoup trop invalidant, l’intoxication mentale comme physique totale, la dépression jusqu’au suicide…. Bien sûr, l’auto-destruction est un choix libre, ainsi je le respecte si c’est votre décision.

Guérir de vos blessures notamment les plus profondes (les pires étant l’inceste et les viols, les mensonges sur votre histoire mais aussi d’autres facteurs plus collectifs comme les génocides, l’adoption, la coupure avec toute vérité qui vous concerne directement).

Il faut du temps, mais c’est un chemin la guérison. Le soleil se couche pour se lever le lendemain. A vous de décider de quoi demain sera fait pour votre vie : la bonne santé ? être bien en célibataire ? vivre la sexualité qui vous correspond ? vous consacrer à vos passions qui allument vos yeux dès que vous y pensez ? Pendant votre quarantaine, fini les conneries de pressions sociales à la noix… Pourquoi se rendre malheureuse pour des gens qui n’ont aucune gratitude envers vous (famille, proches, couple…) ?

Reprendre contact avec son corps par la musculation, l’haltérophilie et maintenir ses capacités de mouvement par de la musculation fonctionnelle.

Vous pouvez travailler vos muscles à tout âge ! Pourquoi perdre du temps et de l’argent avec des pratiques qui vous détruisent le corps comme le yoga à l’année ou le jogging du dimanche alors que vous pourriez prendre un abonnement à 20€ dans une salle de sport entièrement équipée ?? Aussi il faut peu d’équipements pour pratiquer de la musculation fonctionnelle chez soi.

Quel que soit le point de départ, vous pouvez transformer vos capacités pendant votre quarantaine, mais c’est assez compromis passé 50 ans si vous ne faites rien déjà aujourd’hui. Après ce sera que de l’adaptation pour personnes âgées ou lourdement handicapées. En tant que coach, je ne prends pas les personnes avec des articulations trop abîmées par exemple. Quand les articulations (poignets, genoux, hanches, coudes, épaules, chevilles) et la colonne vertébrale sont bousillées, c’est terminé pour de vraies activités physiques et sportives. Mais on peut encore en faire, comme dans un centre de rééducation pour personnes handicapées. Or pour prévenir cette situation évitable, il suffit de s’y mettre, avec la bonne stratégie. Regardez le mapping ci-dessous :

1 : colonne vertébrale zone lombaire en particulier – 2: maintien plancher pelvien –
3: hanche/genou/cheville – 4:maintien abdominal – 5: haut du dos – 6: poignets –
7: épaules – 8: pectoraux

C’est la cartographie des graves problèmes de santé pour lesquels aucun kiné ou médecin n’a de solution à part des opérations chirurgicales très coûteuses, lourdes, risquées et sans garantie. Curieusement l’activité physique et sportive, elle, peut aider. Dingue non ? L’humain a hélas besoin de tomber au fond du trou pour y rester ou bien… se lever d’un coup et décider de se sortir de là. Mais ce ne sera pas un réflexe naturel chez toutes les femmes. Par paresse, ignorance, manipulation politique ou interdiction familiale ou religieuse, de nombreuses femmes se laissent décatir jusqu’à la dépendance physique en croyant qu’il n’y a aucune solution. Elles croient que le make-up et le yoga sont les choses les plus essentielles pour rester « une femme digne et en forme » dans notre société technocratique néo-libérale totalement misogyne. Vous pouvez vous informer sur les disciplines Strong Woman pour comprendre ce conditionnement génocidaire sélectif et comment s’en sortir définitivement.

2. La chance d’être une femme : la prise en compte de l’émotionnel pour sortir des traumatismes qu’a subis votre corps

« Finalement j’ai largué le job, j’en pouvais plus d’être traitée comme une merde, j’avais des tendinites à répétition depuis que le nouveau manager était arrivé
– tu vas faire comment, t’as pas assez depuis que ta colloc est partie
– j’me laisse 2 mois pour souffler, j’ai déjà envoyé des CVs
– Putain mais c’est la crise dans notre secteur… ils arrêtent pas de licencier
– Justement j’ai vu plus d’offres ailleurs, au pire je retourne chez mes parents à la campagne…
– Ouais avec le télétravail, c’est peut-être pas plus mal… »

Finalement c’est en parlant qu’on trouve toujours nos solutions.

Nous les femmes… on a de la chance : on exprime nos émotions. Tristesse, frustrations, manques, notre besoin de parler des heures trouvera souvent une autre femme… qui a besoin de parler des heures elle aussi. Mais sortir ce qui nous affecte passe aussi par l’expression physique des violences que nous avons subies, toutes, et continuons de subir, hélas.

Taper dans un matelas, faire du MMA, faire des combinaisons sur un sac de frappe, balancer un slamball au sol, faire un deadlift en tapant les bumpers parterre… c’est plus socialement accepté que des pratiques sexuelles violentes ou de détruire collègues ou vos propres enfants juste parce que votre job ou votre mariage vous emmerdent…

3. Quel profil d’activités physiques pour quel profil d’activités sexuelles ?

Activités physiques et activité sexuelle vont très bien ensemble. Leurs points communs : 1) le corps y est au centre 2) les deux répondent conjointement aux mêmes besoins profonds : le mouvement du vivant en soi. D’ailleurs, le sport peut remplacer le sexe. Mais désolée pour les dépendantes sexuelles, le sexe seul ne suffit pas à remplacer le sport !

Mais ce vivant… il va dans le sens du maintien de vie, ou au contraire, dans le sens de la destruction de la vie ?
Des hommes ont de telles pulsions en eux qu’ils ont besoin de frapper, étouffer puis violer leur compagne ou compagnon plusieurs fois par semaine. Des femmes ont de telles pulsions en elles qu’elles ont besoin d’humilier, de lacérer, de faire souffrir le corps de leurs partenaires.
A l’opposé, les personnes saines ne pensent pas qu’à détruire autrui pour compenser ce qu’elles ont subi enfant (une mère intrusive, un père violent, une nourrice indifférente, une famille rigide, etc…). Parmi elles, des chanceuses qui ont été épargnées des pires événements familiaux, ou bien des survivantes réparées qui ont fait un travail long et profond sur elles-mêmes malgré un passé de victime ayant subi les pires atrocités. Ces personnes n’ont pas intégré l’agresseur et c’est tant mieux !

Beaucoup peuvent cependant choisir l’absence totale de sexualité (l’asexualité et ses variations nombreuses) ou vivre une sexualité solitaire avec des fantaisies plein les tiroirs… D’autres ne croient plus au couple après des années de souffrances avec un mari, une compagne ou une série de partenaires sexuels au même profil pervers. Chacune fait là où elle trouve des conditions suffisantes pour la sécurité dont elle a besoin pour son corps.

Profils d’activités sexuelles chez les femmes :

  • sadique : jouit de voir l’autre souffrir, a besoin de détruire l’autre, vit pour détruire la vie, culte du sacrifice génocidaire
    masochiste : jouit de résister malgré les coups de plus en plus durs, a subi le conditionnement du rôle de « chèvre sacrificielle » par sa famille et la société.
  • dominatrice : jouit de dominer les situations, notamment celles où les hommes se sont octroyés tous les pouvoirs par la force, le viol, la politique, la religion, le vol des richesses, la rétention d’informations stratégiques, le détournement professionnel etc…
  • soumise : jouit de subir, de ne pas choisir
  • transidentité sociale : jouit des attributs du sexe opposé à celui de naissance ou des deux sexes
  • fillette : jouit de vivre un statut d’enfant (insouciance, innocence, ignorance…) ou de vivre sans responsabilité lourde d’adulte ni sacrifices engageant sa liberté de vivre une vie heureuse.

J’ajoute que je n’ai aucun jugement sur comment chacune fonctionne. Il faut de tout pour faire un monde certes, mais l’humain n’a pas besoin d’être une proie pour le bon plaisir de personnes sociopathes en incapacité de relation avec l’autre.

J’ai créé un outil spécifique, dont je ne parle qu’on coaching privé. Ces 5 exemples au dessus sont des « macro » comportementales au centre de nos énergies de vie, dont la sexualité est l’empreinte directe.

Vous avez intégré qu’il était normal de détruire les autres ? Oui vous serez chez les sadiques. Petite fille, vous avez intégré qu’il fallait se comporter comme un garçon pour ne pas se faire attaquer à l’école ? C’est une forme de « transidentité sociale » : pas besoin de faire une assignation sexuelle -opération chirurgicale avec mutilation définitive de la vulve, ablation des ovaires et de l’utérus, implant d’un faux pénis- ni de subir une ablation définitive des seins… Cette expression extérieure masculine pour une femme est juste une stratégie d’adaptation sociale, notamment dans des environnements (politiques, professionnels, sportifs, urbains…) où les hommes, beaucoup plus nombreux, adoptent des comportements trop destructeurs sur les femmes. Ainsi cette expression masculine de circonstance, demeure au centre de la façon dont vous vous représentez face aux autres. Voyons les activités sportives qui vous motiveront :

K.O. au sol !
  • pour une sadique/masochiste (les 2 sont les 2 faces d’une même pièce : une dynamique relationnelle basée sur des rôles bourreau/souffre-douleur. Pour certaines femmes, avec un long travail sur soi, il est possible de sortir de ce type de dynamique relationnelle assez autodestructrice.) voici les activités sportives qui vont la motiver : sport de combat violents (MMA, full contact), sport avec armes, sports d’équipes avec confrontations physiques violentes (rugby, entraînements aux combats militaires – calcio, combats de rue en bande, street fight chez les hommes).
  • pour une dominatrice voici les activités sportives qui vont la motiver : disciplines de force, haltérophilie, musculation, équitation, tennis, arts martiaux, athlétisme, tactical, etc…
  • pour une soumise voici les activités sportives qui vont la motiver : yoga, pilates, cours collectifs de salle, sports d’équipe où il faut suivre les instructions et ne pas se poser de questions…
bikini et gros biceps… normal c’est une bodybuildeuse !
  • pour une femme qui vit la transidentité sociale (une femme née fille contrainte à adopter des signes extérieurs identifiés comme masculins pour sa survie en société) voici les activités sportives qui vont la motiver : bodybuilding professionnel, disciplines strong, haltérophilie, musculation et tactical soit des entraînements opérationnels pour les métiers d’intervention (police, pompiers, militaires, sécurité, gestion d’urgences, sauvetage, etc…) qu’on retrouve dans le crossfit et le parkour
  • pour une fillette voici les activités sportives qui vont la motiver : skateboard, parkour, certains sports d’équipe, danse, roller, crossfit, natation, etc…

Attention, l’inverse ne fonctionne pas. Les personnes qui font des arts martiaux intenses ou parfois violents ne sont pas toutes forcément sadiques, ok, elles peuvent être maso aussi ?.
Une routine d’activités perçues comme « violentes » (boxe, MMA, judo, full contact, strong…) mais canalisées dans un cadre social légal est même extrêmement recommandée et saine pour toutes les femmes, vu ce que nous accumulons en violences sociales ou physiques subies au quotidien depuis notre petite enfance (attaques des garçons à l’école, bullying, discriminations à l’emploi, mobing professionnel, misogynie ordinaire et décomplexée, critiques physiques permanentes, pressions familiales ou religieuses, plafonds de verre, racismes, âgisme, grossophobie, LGBTphobies, etc…). D’ailleurs je prépare un article sur ce sujet où j’évoquerai aussi la « quantité des besoins sexuels » qui sont définis par notre biologie hormonale et… familiale.

Je ne généralise pas sur les pratiquantes d’un sport avec le profil sexuel. C’est juste une proposition pour motiver certaines à faire du sport qui lui correspondrait mieux pour canaliser ses pulsions violentes.

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